deltachaud

Un soir de septembre, après ma confession quotidienne, prosterné à quatre pattes face Maitresse, tenu en laisse par Julie , Maitresse m’a annoncé une grande nouvelle elle a décidé de me marier à une esclave femelle. C’est avec l’une de ses amies maîtresse de cette esclave nommée Slavia qu’elles ont eu cette idée divertissante.Le mariage sera célébré la nuit de la Saint Sylvestre, nous serons l’attraction du réveillon de dominatrices auquel Maitresse participera.Le lendemain de cette décision j’ai été conduit par Julie chez un bijoutier fétichiste, près de la République, pour acheter les cadeaux de fiançailles pour ma promise.Maitresse avait fait la liste des cadeaux, un piercing de nombril pendentif en diamants et en guise de bague de fiançailles des piercing de sein ornés de rubis, nous avons aussi acheté les « bagues des mariés » deux anneaux d’or l’un qui transpercera le clitoris de la mariée l’autre qui se glissera autour de la petite queue du marié. Julie a bien entendu voulu essayer ma bague, j’ai du me mettre nu dans l’atelier du bijoutier en présence d’un couple de clients. Julie m’a enfilé le modèle choisi, elle l’a trouvé trop large le bijoutier a fourni un modèle différent, un jonc plat qui s’ouvre pour le passer, même au repos, il serre ma queue juste sous le gland. Maitresse a aussi prévu une attention pour les témoins que seront Julie et la gardienne de Slavia, deux cravaches de cuir à pommeau d’argent. Je dois bien entendu m’acquitter des 8500 euros que représentent tous ces achats. Le couple de pervers qui avait suivi la scène de l’essayage ayant compris au ton sur lequel me parle Julie que j’étais un esclave lui demande la permission de m’utiliser, Julie accepte et me voilà couché au sol les deux amants accroupis face à face, l’anus de la dame écrasé sur ma bouche et celui de l’homme enculé par ma queue. Après quelques minutes ils échangent leur place ma bouche accueille une queue énorme et mon sexe est avalé par le cul de la dame. Julie prend des photos avec son téléphone, ce sera un bon souvenir et un excellent prétexte à punition.Les 2 week-end suivants furent celui de nos présentations puis de nos fiançailles.La première cérémonie se déroula chez ma Maîtresse, en petit comité. Julie m’avait préparé une bonne partie du samedi matin , épilation de tout le corps, douche froide, lavement, passage au gant de crin, et enfin talcage . Je fus, jusqu’au soir enfermé dans une cachot de la cave fixé au mur par les poignets et le cou Julie me couvrit le visage d’un string en cuir que ma future fiancée avait porté une semaine durant pour l’imprégner de son odeur intime.Julie vient me chercher le soir venu , Elle enlève le baillon parfumée pour la remplacer par une coiffe de cuir recouvrant mes yeux qui m’empêche de voir, pose des bracelets d’esclave à mes chevilles et mes poignets, me passe un collier de chien et m’attache en laisse par mon collier de couilles et de queue. Julie me tire par la laisse jusqu’au salon de torture où va se dérouler la séance de présentation. Lorsque nous entrons quelques participants s’écrient « ah voici le fiancé » je note quelques voix masculines, chose exceptionnelle dans ces lieux.Julie m’ordonne de mes mettre à quatre pattes elle me pousse à coups de pied dans le cul jusqu'au milieu de la salle. Maitresse fait un discours, elle accueille la « famille » de la fiancée et dévoile le principe de cette soirée « comme nos tourtereaux ne se connaissent pas ils vont se d écouvrir étape après étape.La femelle même esclave étant supérieure au male Julie m’agrippe par le collier me fait avancer d’un mètre et plaque mon visage sur le postérieur de Slavia qui a du, je me doute, être placée sur un banc de torture, on m’ordonne de lécher de sucer d’aspirer, ma tête est fermement tenue par Julie, ma langue explore anus, chatte, cuisses. Ma bouche et mon nez se plaquent à une chatte juteuse. Mes dents mordillent un clitoris gonflé des grandes lèvres charnues.Je suis retourné sur le dos, Slavia est assise sur mon visage nos gardiennes l’agitent et la font peser jusqu’à m’asphyxier ; puis je dois lécher tout son corps je découvre sous ma bouche des petits pieds de longues cuisses un ventre légèrement bombé, des seins assez volumineux un cou très long une bouche pulpeuse un petit nez des oreilles au lobe souple. J’arrive à un casque de cuir qui doit aussi occulter la vision de SlaviaA Slavia de découvrir son male Julie et l’autre gardienne me saisissent et m’obligent à m’allonger sur le banc de torture , une sangle me fixe à la taille, mes jambes sont relevées et tirés en arrière des chaines tombant du plafond reliées à mes bracelets de chevilles , mes bras sont plaqués aux pieds du banc ?On oriente, la langue de la femelle aux portes de mon anus puis elle remonte sur mes couilles épilées les bourses sont tendues par mon collier de couilles Slavia reçoit l’ordre d’en gober une, bouche grande ouverte je sens ses lèvres m’entourer je bande aussitôt « La catin fait de l’effet à son mâle » s’écrie une spectatrice je reçois une paire de claques administrée par Julie, « Tu n’as pas été invité à bander lopette » les gifles sont sans effet Maîtresse ordonne à Julie de fouetter ma queue au martinet, sous la douleur la hampe se ramollit Slavia peut poursuivre son exploration buccale en prenant en bouche un petit sexe flasque «pauvre conne tu vas épouser une lopette qui n’a même pas entre les jambes de quoi remplir ta chatte » s’esclaffe celle qui doit la Maîtresse de Slavia A force d’être choyé au fond d’une bouche ma petite queue se gonfle à nouveau Slavia est tirée violement en arrière « ça suffit vos cochonneries » nous lance Julie qui m’enlève mon collier de couilles et de queue pour m’emprisonner dans une cage de chasteté.Slavia poursuit sa découverte jusqu’à ma bouche, elle est invitée à y cracher dedans, les deux gardiennes la font se mettre debout, ma tête entre ses cuisses, on m’ordonne d’ouvrir grand ma bouche et Slavia est incitée pisser au fond de ma gorge On me détache du banc et nous sommes placé à genoux face à face on lie nos colliers de cou par une courte chaine une ceinture plaque nos ventres l’un contre l’autre nous devons nous lécher la langue tendue au maximum Je dois répéter ce que me dicte Julie « je t’aime petite truie je veux être ta lopette veux tu m’épouser « Slavia me réponds sous la dictée je ne suis qu’une conne de truie mais une femelle je vaux cent fois mieux que toi qui n’a de mâle que le nom mais nos Maîtresses ont décidé que tu serais ma lopette de mari »On nous retire en même temps nos coiffes de cuir, nous nous découvrons enfin visuellement,Slavia est une jeune femme aux traits assez réguliers, blonde ? brune ? rousse ? Impossible à dire ses cheveux et ses sourcils cils sont entièrement rasés difficile d’être jolie dans ces conditions pourtant elle est plutôt attirante, elle me sourit un peu gênée par la situationPassons à table décide Maîtresse et laissons ces deux esclaves faire connaissance. Pour ce faire on nous laisse liés à genoux mais on nous oblige à partager un bâillon boule à double sangle qui nous plaque bouche à bouche la conversation en est très limitée. Comme on ne nous a pas lié les mains je me lance dans une séance de caresses Slavia semble apprécier après avoir exploré ses fesses je m’approche de sa chatte mes doigts font rouler ses lèvres avant de les entrouvrir et de glisser un puis deux puis trois doigts dans son trou de plaisir ; Notre position ne me permet pas une profonde insertion ma main étant retournée pour pénétrer je la branle avec succès sa respiration accélère elle geint et se tortille en utilisant mon pouce pour masser son clito j’arrive à la faire jouir elle coule abondamment sur mes doigts elle s’ essaye à son tour à des caresses mais ma cage de chasteté m’interdit de bander je lui dit non malgré le baillon mais cette salope a compris mon embarras et elle prend un plaisir pervers à provoquer ce qui est pour moi un vrai supplice bander encagé .Les convives revie nnent de dîner alors que je pleure de douleur et que Slavia jouit de me faire souffrir.Qu’on fait nos tourtereaux en notre absence, Julie allume un vidéo projecteur qui projette tout notre moment d’intimité qui a été filmé à notre insu. Les réflexions fusent de toutes parts Je vois dans les yeux de ma compagne d’infortune qu’elle se sent humiliée et même si aux yeux de nos Maîtresses les tourments qu’elle m’a infligé vaut toute leur estime elle est violée non par mes doigts mais non par mes doigts mais par ces images projetées au mur.On nous sépare nous invitant à nous « faire un bisous » en attendant la semaine prochaine pour la cérémonie des fiançailles…….. à suivre